Cataclop ! Cataclop !
Le germain tout mignon s'avança, mis le pied sur une pierre, planta son épée dedans, et déclara à toute son assemblée composée de germain aussi mignons : Que l'on m'apporte ma femme, de la bière, des bons gros boeufs, et la tête de mes voisins.
Le peuple se dispèrsa alors, pillant chaque villages aux alentours. Mais un beau jour vint alors un nouveau peuple, protégé par les dieux. Le peuple inquiet demanda au chef ce qu'il fallait faire. Il leur déclara, avec toujours son pied sur la pierre : J'en ai cure, soumissez les, comme vous avez fait avec les autres.
Les germains s'en allèrent donc, contre ce village inconnu. Arrivés près du fossé, un mur de terre jailli du sol, le ciel s'assombrit, et la pluie vint juste après. Les guerriers se regardèrent, échangèrent des regards inquièts; mais se rappelèrent leur chef, et foncèrent sur le village tout de même.
Alors les éclairs bondirent, le vent souffla, et les guerriers se retrouvèrent perdus, au milieu d'une oasis.
Un éclaireur vint les chercher, et le plus vieu des guerriers s'avança vers le chef pour lui conter les péripéties.
Le chef rentra dans une fureur noire. Chaque jour il envoya ses troupes, et chaques jours elle revinrent. Sauf un.
En effet, ce jour là, les troupes revinrent, mais avec un butin. Le chef tout content, fit organiser une fête.
Le lendemain, les guerriers repartirent. Et ce jour là, il revinrent aussi avec un beau butin, mais à peine avaient t'ils mis les pieds dans le village, que le peuple inconnus lui tomba sur le dos.
N'ayant jamais étés entrainés en défense, ils se firent ravagés.
Alors commença les pires jours du village.
A chaques instants, on les pillaient, volaient et détruisait ce qu'ils avaient bati entre deux attaques.
Le chef envoya alors, petit à petit des guerriers chez un de ses amis gaulois. Qui les receuillis avec plaisir.
Les jours passèrent, et le village voyait son armée grandire.
Un beau jour le chef, estimant avoir asser de troupe, envoya l'assaut.
Pareil que les premières fois, butin, sans rien avoir tué.
Il éparpilla ses troupes, et encore une fois le village inconnu les attaqua.
Et caetera et caetera, celà dura plusieurs jours, à raison de 5 attaques par jours.
Enfin une sorte de cessez le feu naquit, sous une menace plus lointaine, mais plus grande.
Alors les germains envoyèrent ses troupes sur le village loitain, qui revinrent les mains vide. Le chef reçu un message, disant qu'il en était de même pour le peuple inconnus.
Mais ce soir là, fut le pire des soirs.
Des cavaliers vinrent, sortis de l'ombre, et emportant tout sur leur passage ; nourriture, boisson, femmes, enfants. Le chef envoya un messager au peuple inconnus demandant de l'aide.
Celui ci revint sans avoir vu le chef, mais rapportant qu'il en était de même la bà.
Le Chef germain envoya un messager chercher de l'aide auprès de son ami Gaulois.
Celui ci envoya des phallanges.
Une semaine passa sans qu'aucune attaque eut lieu.
Enfin, le jour arriva.
Le combat fut corsé, mais le peuple germain assistés par les phallanges perdis.
4 combattants adverses avaient réussis à survivre. Mais au moins celui çi ne reviendrais pas.
L'après midi même, le chef envoya un messager raconter son histoire dans quelques grandes tavernes du pays.
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Youpi youpla, désolé pour les fautes
j'ai tapé certainement vite, je dois encore un peu bosser, mais j'avais promis de faire un coucou
.
En gros c'est min histoire, le peuple inconnu est connus de kissm3, apparement